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Des rendez-vous au Centre Culturel d’Iran à Paris en février

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Kayhan Kalhor, Né, en 1963, dans une famille de musiciens, Kayhan Kalhor grandit à Téhéran. Dès son plus jeune âge, il montre des facilités dans le maniement du kamânche, une vièle perse ancêtre et cousine du violon. Un instrument au son proche de la voix et dont le jeu opposé demande de faire évoluer, en un habile pivot du manche, le plan des cordes sur l’archet.

Prodige, il intègre, à treize ans, l’Orchestre National de Radio et Télévision d’Iran tandis qu’il parfait auprès des grands maîtres sa connaissance du radif. Un vaste ensemble de motifs et mouvements mélodiques que tout élève, à la manière d’un musicien de jazz, doit mémoriser et qui constitue l’armature de cette musique improvisée. Puis adolescent, Kayhan Kalhor quitte l’orient et part étudier la musique savante en Italie et au Canada. Dans les années 90, il cofonde l’ensemble Dastan, figure de référence du patrimoine musical iranien. Par ailleurs, traît d’union entre tradition et modernité, il contribue par ses collaborations, (Kronos quartet, Silk Road Project) à faire connaître le kamânche au-delà du cercle des initiés. Régulièrement nominé aux Grammy Awards, Kayhan Kalhor que certains considèrent comme une légende vivante, restitue l’expression profonde des mélodies persanes. Ces chants mystiques que transmettent de génération en génération, les maîtres à leurs disciples.

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